C’est une branche des droits de l’homme, étudiant la protection typique de l’enfant en tant qu’être humain dans tout l’ensemble. Autrefois, dans l’antiquité, cette notion était totalement absente. Les enfants sont considérés comme des êtres opprimés par leur père. Pareil dans l’époque moyenâgeuse. C’est à partir du temps moderne et contemporain que cette pensée a vu naître une grande évolution. Actuellement, des traités visant la protection de l’enfance sont mis en place dans le pur intérêt des personnes âgées de moins de 18 ans. Les conventions s’étalent du point de vue national qu’international. Les Nations Unies ont sorti un traité principal sur cet objet de droit le 20 novembre 1989 : c’est la CIDE. Celle-ci est claire, surtout en ce qui concerne la garantie sans discrimination des droits des marmots dans les pays signataires.
Ce traité est basé sur 4 fondements
Le principe premier est d’éviter la discrimination. En effet chaque enfant doit bénéficier du même droit, quelle que soient son origine et l’état dans lequel il vit.
Il y a ce qu’on entend par intérêt suprême de l’enfant. Ce domaine préconise de faire passer l’enfant et ses droits avant les autres. Si les parents ou ceux qui s’en occupent ne sont pas aptes à garantir cette règle, il est alors possible qu’on leur retire la garde.
L’enfant doit vivre convenablement et doit avoir un développement sine qua non. Il faut donc qu’il soit en bonne santé, consomme de l’eau, de la nourriture et tous les éléments vitaux à la vie. En parlant de son développement, il y a la motricité, les jeux, la communication et l’affection entre parents-enfants.
Il doit avoir une opinion, quel que soit le type. En fait, il doit s’exprimer, car c’est à partir de ses récits que l’on juge bon ce qui lui est convenable.
Les 3 protocoles qui font partie de cette convention
Il y est annoncé que cette catégorie de personne ne doit pas être recrutée dans les combats armés. Cela reste une affaire des personnes majeures.
Il faut connaitre que tout enfant ne doive pas être exploité ou vendu à des fins commerciales. Cela concerne le travail précoce, l’adoption illicite.
Le troisième protocole délimite la démarche internationale qui admet à tout individu moins de 18 ans de poser une plainte inhérente à un outrage à ses droits. Cette action est à faire aussitôt auprès du Comité délégué par les Nations unies.
C’est la raison d’être de nombreuses organisations nationales et internationales qui défendent le droit de l’enfant.